Union des Droites pour Morières

Notre équipe pour qui l'intérêt général compte plus qu'une appartenance politique, est ouverte, riche de ses différences, disponible et à l'écoute de chacun. Ce que notre équipe défend, c'est une volonté de gérer au mieux les intérêts de nos concitoyens.

« Tout peut, ici, être dit, même s’il n’est pas interdit d’être argumenté et pertinent. La seule condition posée est de respecter les règles élémentaires de la civilité : les propos injurieux ou outranciers sont évidemment à proscrire »
Un modérateur y veille.
Bienvenue !


mercredi 29 septembre 2010

Avignon, les opérateurs vidéo de la police municipale repèrent deux individus (vu dans la presse et sur le net).
Une agression sauvage. Presqu'animale puisque sans aucune sommation, sans dispute, sans regard de travers préalable. Les images de vidéosurveillance que nous avons découvertes hier matin font froid dans le dos. L'ultra-violence gratuite à l'état pur, dopée par l'alcool, s'étalait sous nos yeux et l'on se disait alors que la vie ne tient qu'à un fil, au fait que l'on puisse parfois se trouver au mauvais endroit au mauvais moment.
"C'est inqualifiable" glissait le patron de la police municipale. Durant cette minute hallucinante, un jeune couple est frappé au sol. Et puis, après une minute de lutte, le coup final. L'un des agresseurs se redresse et balance son pied dans le visage du jeune garçon encore au sol. Sa tête se fracasse contre un banc. Son corps gît inerte sur le carreau alors qu'un camion de la mairie fait son apparition et que les trois agresseurs s'enfuient... Dès le lendemain, vers 1 heure du matin, les opérateurs vidéo de la police municipale repèrent deux individus dont les physionomies correspondent aux suspects de la veille.
Hier, ils ont été présentés au parquet, puis au juge des libertés et de la détention qui les a placés sous mandat de dépôt avant leur comparution. "C'est un miracle qu'il soit encore en vie" lâchait un enquêteur en évoquant la violence avec laquelle le jeune a été frappé: "Je n'ai jamais vu ça de toute ma carrière".

mardi 28 septembre 2010

Sondage : ce que les citoyens attendent de leur maire
A l’occasion du Congrès des maires : un sondage AMF/CSA sur le thème «maires et citoyens: construire ensemble», montre les attentes des citoyens :
64% des Français jugent que l’élu local le plus à l’écoute de leurs préoccupations est le maire.
S’ils souhaitent être davantage associés à la prise de décisions, les Français ne font pas moins preuve d’esprit critique à l’égard des pratiques de démocratie participative. Si 37% considèrent que le développement de ces pratiques correspond «à une nouvelle façon de gouverner au plus près des préoccupations des citoyens», et 22% que ces pratiques constituent «une source d’inspiration pour aider les hommes politiques à bâtir un programme», 28% estiment qu’elles prennent surtout la forme d'«opérations de communication».
A l’égard de l’impôt, les Français demandent plus de clarté et d’équité. 59% des Français souhaiteraient être davantage informés sur les impôts locaux (usage, calcul de leur montant, répartition). 46% souhaiteraient voir adopter comme axe prioritaire de la réforme de la fiscalité locale «une plus grande équité entre les citoyens» et 73% des Français se disent favorables à ce que le niveau de revenu soit davantage pris en compte dans le calcul du montant de la taxe d’habitation et de la taxe foncière.
Enfin, sur le thème du développement durable, seuls 42% des Français déclarent avoir une idée précise de ce qu’est le développement durable. Une fois que la définition du terme leur a été donnée, 55% des Français sont convaincus que le développement durable devrait être une préoccupation prioritaire des politiques publiques.

samedi 25 septembre 2010

Force est de constater que les mêmes qui « hurlent » à la manipulation des médias par le pouvoir oublient souvent qu’ils contrôlent les régions, la majorité des départements et des villes. Certains d’entre eux ont mis la presse locale à leur botte, il n’y a pas d’autre mot quand un journal reprend mot pour mot un compte-rendu politique et ne daigne même plus envoyer de représentant si ce n’est pour venir chercher la pige. Pour exemple, il suffit de prendre nos deux journaux locaux du 16 septembre 2010. Que voit-on ? Le même article, la même photo qui montrent notre trio de choc PS-PC, une truelle à la main pour la pose de la première pierre d’un projet immobilier sur Morières. L’occasion est trop bonne pour nos trois larrons. Il faut tacler quelqu’un. Que lit-on ? « Ces projets d’habitations sociales nous tiennent à cœur mais ne sont pas partagés par tous » puis « je peux témoigner de la mauvaise volonté de quelques-uns ». De qui parlent nos élus ? Mystère. Les journalistes n’ont pas pris la peine de poser la question. Mais le venin est distillé, le mal est fait. En gros, nous sommes les meilleurs et les autres sont mauvais. On peut se poser la question sur le degré de déontologie dont font preuve ces journalistes, voire leur indépendance face aux élus locaux ?

mercredi 22 septembre 2010

Suite à la lettre d’un parent d’élèves de Morières mécontent de l’accueil des enfants en période de grève et la réponse de notre Maire :
Demain, jeudi 22 septembre, grève dans l'Education nationale. Beaucoup de municipalités n'assurent pas l'accueil des enfants. Pourtant Les villes sont supposées mettre en place le service minimum pour accueillir les élèves. Mais certaines villes, Morières y compris, font de la résistance. Vous pouvez constater que les arguments de ces élus de gauche pour ne pas appliquer la loi sont point par point ceux de notre maire. Prenez la lettre de notre maire (distribuée à tous les parents) et comparez !!!
(Vu dans la presse, compilation)
Paris : "Trop compliqué à mettre en place en 48h »Le maire PS de la capitale, refuse de mettre en place le service minimum
Lille
"On applique la loi. Mais elle est inapplicable" (PS) Martine Aubry. Du coup, un quart des écoles seront fermées.
Toulouse
Plus de la moitié des écoles primaires devraient être fermée.
Nantes
Le service minimum sera "impossible à mettre en place dans la majorité des établissements", selon le maire (PS) de la ville qui invite les parents à s'organiser pour faire garder leurs enfants.
Strasbourg
La mairie (PS) annonce que 53 écoles seront fermées. "Nous ne refusons pas d’appliquer le SMA, mais nous ne sommes pas en mesure de le mettre en place dans des conditions de sécurité acceptables", précise l'adjoint au maire.

OH ! Le copieur…. En gros, j’veux bien mais j’peux pas. Sûr qu’il a les doigts croisés dans son dos. Pourtant, c’est possible.
Nice Matin 7.09.2010
Un service minimum a été mis en place dans toutes les communes du secteur. les écoles et les crèches. Les enfants peuvent donc se rendre dans leur établissement sans inscription préalable. Ce service est assuré par des animateurs municipaux. À Biot, la commune promet un service minimum de 7 h 45 à 18 h. Toutes les activités périscolaires y sont maintenues : garderie du matin et du soir, cantine et études surveillées.
Allez, Monsieur le maire. Pensez moins à 2012 et plus aux Moriérois. Apportez des réponses d’adultes à des problèmes d’enfants.
Car pour les parents, à Morières comme ailleurs, trop c'est trop.
Un ami a assisté au dernier conseil municipal. Il nous communique ses réactions. (21.09.2010)
18h30. A notre arrivée dans la salle du Conseil, nous constatons qu’une caméra est posée sur un trépied et dirigée vers le centre de la salle. Ambiance surréaliste car 29 élus font face à une salle déserte. Mais ca, la caméra ne le montre pas (Face aux élus, 100 chaises vides sauf 7 occupées). Dans un coin à droite, 2 personnes qui semblent être des journalistes de la presse locale.
18h40. Monsieur le maire prend la parole et annonce la démission d’un élu de l’opposition et son remplacement par la suivante sur la liste. Discrimination positive oblige. Puis il remercie le démissionnaire pour son investissement au sein du conseil municipal. Le propos est bâclé en 2 minutes et sonne faux. Puis le maire répond à une lettre ouverte d’un parent d’élève de l’école marcel Pagnol qui se plaint de l’absence d’accueil en période de grève. Pas de cantine, pas de garderie. La réponse est rapide autant que confuse. J’applique la loi et blablabla…et blablabla… c’est pas ma faute Msieur dame ! Démocratie participative à la vitesse lumière, plus fort que superman. Il montre une lettre recto-verso destinée à ce Moriérois récalcitrant qui n’a pas compris l’inutilité de sa démarche, ainsi qu’à tous les parents. Des fois qu’un inconscient voudrait se rebeller à son tour. Pourtant, le service minimum, c’est possible. La preuve dans la presse :
Nice Matin 7.09.2010
Un service minimum a été mis en place dans toutes les communes du secteur. Cela signifie qu'en l'absence des enseignants, les communes maintiennent dans les écoles un service d'accueil. C'est également le cas dans les crèches communales qui seraient concernées. Les enfants peuvent donc se rendre dans leur établissement sans inscription préalable. Ce service est assuré par des animateurs municipaux. À Biot, la commune promet un service minimum de 7 h 45 à 18 h. Toutes les activités périscolaires y sont maintenues : garderie du matin et du soir, cantine et études surveillées.
Vos arguments ne tiennent pas, Monsieur le maire, puisque d’autres y arrivent. Vous pouvez le faire. Vous devez le faire.
18h 50. Ouverture du conseil municipal. 14 délibérations. Une seule pose problème, comme chaque année. La délibération n°11 : Convention de partenariat avec la scène nationale de Cavaillon, d’un montant de plus de 13.000 euros. En augmentation de 18% par rapport à l’année dernière. Question de l’opposition, Pourquoi cette augmentation ? Réponse confuse d’une élue, heu … la population augmente, la subvention augmente… . Ah bon il s’agit alors d’un « impôt culturel proportionnel ». La subvention est approuvée. Et hop ! Et tant pis si il faut augmenter les impôts locaux en 2011.
18h55. Délibération N° 14 : l'opposition propose un de ses élus comme candidat pour représenter la commune au Conseil d'Administration du collège, Comme un seul homme, TOUS les représentants de la majorité votent pour l’un des leurs, belle leçon de démocratie participative et pas une réaction ou intervention du maire.
20h : Fin du conseil municipal.
Alors, ce conseil, ca t’a plu ? NON, mais je comprends pourquoi la salle était vide !

mardi 21 septembre 2010

Jeudi 23 septembre, jour de grève. Encore une merguez-party inutile qui ne servira qu’à faire que les cheminots, les profs et j’en passe soient encore plus haïs qu’actuellement…Allez savoir de quel côté se trouve la pénibilité dans les transports, l’éducation ……. Enfin tous ceux qui font grève jeudi.
Dans un pays qui se targue d’être le pays de “l’égalité” il est extraordinaire de voir tous ces régimes spéciaux! Mais bon, il y en a qui vont se fâcher si je dis que ce n’est pas juste. Et nous usagers ignares, incultes, bref des bœufs (si je m’en réfère aux propos de certains..!..) aurons-nous droit à un régime spécial un jour? À savoir: des trains à l’heure, des infos fiables, des grèves rares, des cours pour nos enfants (on peut rêver)…etc.
Mais bon, j’ai une vision sans doute très réductrice de nos amis, malheureux fonctionnaires. Je vais essayer de demander une prime pour le nombre de fois où je suis arrivé en retard à cause des grèves (ou le nombre de fois ou je me suis levé à pas d’heure pour arriver dans les temps), plus le stress… je doute que je l’obtienne!

lundi 20 septembre 2010

“Réduire la dépense au-dessous de la recette”
En ce week-end de fête du patrimoine, une lettre écrite par Turgot, le 24 août 1774 à Louis XVI, lorsqu’il devint son contrôleur des finances (ministre du budget) peut nous éclairer. Elle trouve aujourd’hui un écho particulier en cette période d’après-crise et de maîtrise des déficits publics”. Nos élus locaux devraient s’en inspirer au moment ou le budget 2011 se prépare.
Que disait Turgot en l’occurrence ? “Point de banqueroute. Point d’augmentation d’impôts. Point d’emprunts. Pour remplir ces trois points il n’y a qu’un moyen. C’est de réduire la dépense au-dessous de la recette, et assez au-dessous pour pouvoir économiser chaque année une vingtaine de millions, afin de rembourser les dettes anciennes. Sans cela, le premier coup de canon forcerait l’État à la banqueroute”.
En conséquence, Si nos politiques d‘aujourd’hui persistent dans leur frénésie fiscale et confiscatoire, des tètes risquent de tomber ! Pourquoi ? La richesse vient du travail, pas de l’état. Il faut arrêter de voirent l’état comme une entité magique, une sorte de Père Noël qui peut assurer n’importe quel train de vie à sa population. Et qui, pour ne pas avoir à répondre à la question ” Qui payera ?”, dit qu’il suffit de faire défaut sur la dette. Ce n’est pas une idéologie de gauche, c’est une idéologie de voleurs !
Alors, avance rapide dans 20 ans: l’état aura fait défaut, plus personne ne voudra lui prêter de l’argent, et il sera obligé d’avoir 0 déficits, ou d’imprimer des billets. Dans le premier cas, ceinture, encore pire pour tout le monde, dans le second cas, hyperinflation, tout le monde au chômage, et plus personne n’a rien.
En conséquence, Si nos politiques d‘aujourd’hui persistent dans leur frénésie fiscale et confiscatoire des tètes risquent de tomber !
La suite ? Comme quatre ans après la révolution de 1789 : Terreur, dictature, guerres, quelques millions de morts. Mais rien de grave, tant que pendant quelques années on peut encore profiter de l’état…

samedi 18 septembre 2010

Chacun est un peu prophète de son destin !

Quand la situation est difficile, les scrogneugneux, les grognons, les maussades, les moroses, les renfrognés, les revêches, les désabusés, les acariâtres, les hargneux, les mécontents, les pessimistes, les bourrus, les chagrins, les bougons, les ronchons,... sont comme frappés d'ataxie.

Les enthousiastes, les fervents, les chaleureux, les entreprenants, les optimistes, les constructifs, les créatifs, les responsables font le choix de s'armer pour être plus solidaires et mieux surmonter les difficultés.

C'est la ligne que nous devons nous tracer et non celle de la "grinchitude" car plutôt que d'en rajouter et de faire d'une crise un fonds de commerce, nous devons nous efforcer avec courage, réalisme et dévouement de l'affronter avec sens des responsabilités.
Conférence-débat, Décret petite enfance. Vu dans la presse locale :
C’est tout comme j’aime. Un article de presse tellement rempli d’âneries qu’on l’entend braire encore longtemps après l’avoir quitté. Et ce n’est même pas la faute de la journaliste, qu’on sent la plus impartiale possible dans une affaire qui ne la passionne pas plus que ça. Elle fait le métier, elle s’acquitte du travail sans enthousiasme. Il est vrai que la presse locale est habituée à venir sur Morières relater les moindres faits et gestes de notre petit élu local. Quelquefois l’article est déjà écrit par l’intéressé avant même que la manifestation se déroule. Et après on parle de liberté de la presse ! Enfin passons.
Comme souvent dans ces cas-là, il faut s’arrêter un instant sur le titre de l’article, qui vaut quand même son pesant de tout ce que tu veux (mais pas de cacahuètes, parce que ce serait un cliché). « Débat sur l’accueil collectif de la petite enfance, pas de bébé à la consigne » Brr… On sent quand même venir la sale affaire, les mains pas propres, les traces de scandale. Et du coup, on se prend à imaginer ce que ça peut bien être : les Crèches vont être remplacées par des placards métalliques type SNCF dans lesquels on viendra déposer son bébé à 8h pour le récupérer à 17h. Franchement, on craint le pire. Effectivement il y a malaise dans la demeure… D’après la journaliste, il y avait 250 participants, à peine 150 d’après un ami présent. Chiffre à prendre avec précaution, car tous le monde le sait, dans les manifestations, la police compte les têtes, les syndicats comptent les pieds. Vite, vite : il faut faire toute la lumière sur cette affaire!
Et puis en fait, non. Mais je dois t’avouer un truc : je m’en suis un peu douté quand même… (Je suis trop fort, je sais.)
L’intro nous déçoit, ce n’est que la liste des participants, bien longue, ca fait sérieux. On a pris soin de ne pas parler de la présence de représentants de la CGT pourtant annoncés dans la revue municipale. Les gens auraient pu croire que ce débat n’était en fait qu’une réunion syndicale pour défendre les intérêts d’une catégorie de travailleurs. Puis plus rien. Rien sur la difficulté qu’ont les parents à trouver un mode de garde pour leurs enfants. D’ailleurs, la sentence tombe, raide comme le couperet de la justice ou un col de chemise de BHL : « Nous ne voulons pas de moyens low cost, il va y avoir du surbooking dans les crèches ». C’est normalement le moment où l’image disparaît de l’écran dans un élégant fondu au noir, sur un mouvement de caméra qui s’éloigne pour souligner la fin d’un monde, la disparition d’une époque bénie, le début du chaos. On s’attend presque à entendre des violons – façon Vladimir Cosma – tandis que commencera à se dérouler le générique de fin. Ensuite on sortira de la salle en silence, on marchera lentement le long du trottoir, et chacun se demandera, avant de l’exprimer pour les autres, ce qu’au fond il a pensé du film. On aura tous le cœur lourd et les images dramatiques de cette fin repasseront sans cesse dans nos têtes… Euh… je m’égare, là, non ?!
Pardon. J’en étais où, déjà ? Ah oui : « Surbooking et low cost ». Jésus, Marie, Joseph ! Miséricorde ! Pourquoi notre maire mélange- t-il ainsi le français et l’anglais. Quelle mouche l’a piqué. Quel rapport entre ces mots utilisés par les agences de voyages et la petite enfance. Continuons sans tarder la lecture de l’article, pour savoir enfin quelle malédiction menace l’accueil de nos chers petits enfants dans les crèches. Seigneur, nous y voilà ! Le voile se déchire, sur lequel était peinte l’illusion de notre bonheur… Que se passe-t-il ? La révélation approche. « Le décret tant critiqué veut augmenter le nombre de places dans les crèches. » Sainte-Marie, mère des apôtres ! C’est épouvantable, c’est ignominieux, c’est effrayant… Un gouvernement de droite veut faire du social. Blasphème, hérésie, ne sait-il pas que c’est le domaine réservé de la goooooche ? Et tandis que le papier se poursuit, on voit peu à peu transparaître l’infâme objectif, ne pas recourir à des embauches nouvelles. Tout est consommé. C’est l’apocalypse.
Ensuite, se succèdent les impressions des uns et des autres. Et les éléments tombent, les uns après les autres, à charge, tous plus accablants : les règles changent (insupportable), le personnel sera moins diplômé (inconcevable), la sécurité ne sera plus assurée (inconscient), etc.
Parce que, soyons clairs, qu’est-ce qui est reproché à ce décret ? Augmenter le nombre de places en crèche sans trop alourdir le budget des parents et des collectivités. Tout simplement rendre un service public à un coût raisonnable. Ouuuh… les vilaiiins ! Mais quel scandale !
En attendant, pardon, mais je crois que le décret sur la petite enfance va dans le bon sens. Notre maire a voulu faire un coup politique avec son pseudo débat participatif. La petite enfance ne l’intéresse pas plus que ça, tout comme l’accueil des élèves en période de grève. Pourtant cette année, cela commence très fort. 2 jours après la rentrée scolaire les parents doivent déjà chercher une solution d’urgence pour faire garder leurs enfants. Du coté de la mairie, circulez, c’est aussi la grève !!! BF

jeudi 16 septembre 2010

Les consommateurs vont payer leur eau plus chère.
La station d'épuration de Morières va couter plus de six millions d'euros. Seule manière d'équilibrer les comptes : augmenter la surtaxe sur l'eau. Ce qui inquiète le plus Joël Granier, c'est d'expliquer à ses concitoyens que la facture d'eau va augmenter sur sa commune de 40 à 50€.On peut le comprendre!!!
Augmentation sur une facture type (60m3)
Avignon +8,3€
Velleron + 10,5€
Vedène + 23,6€
Morières +41,8€
Jonquerettes +51€

lundi 13 septembre 2010

Alors après un été chaud sur Morières…………..
Le Parti Socialiste apparaît clairement incapable de définir une alternative crédible à la politique de sécurité volontariste du Gouvernement. Il est totalement empêtré dans ses contradictions sur la sécurité et dans l’incapacité de formuler des propositions. Ainsi, quand notre maire fait un article sur la sécurité dans le PS info de septembre, Il parle de prévention, dissuasion et sanction mais oublie la protection que l’Etat Républicain se doit d’assurer à tous. Pour les Français, la protection se fait par les actes. Comment le Parti socialiste entend-il y répondre? Les Français l’ignorent toujours. Alors après un été chaud sur Morières, braquage, vols dans les maisons et enfin vol de 2 camions de la commune (dont un chargé de matériel de sonorisation : au fait, pourquoi ne pas avoir mis à l’abri tout ce matériel électronique de valeur ? il ya fort à parier que l’assurance va demander des comptes), monsieur le maire ne peut que se désoler dans la presse locale de ce nouveau délit commis sur la commune. Il est vrai qu’il ne veut pas entendre parler de vidéo protection contrairement à ses collègues socialistes, maire de communes comme Carpentras, Monteux, Entraigues …. qui ont pris conscience de l’ampleur des problèmes de sécurité dans notre région.
Rappel : En 2008, plus de 2000 communes avaient fait le choix de s’équiper. Elles n’étaient que 800 en 2005.Selon un sondage Ipsos réalisé en 2008, 71% des Français se disaient « favorables » à la présence de caméras dans les lieux publics, contre 28% de « défavorables ». A la lecture de ces chiffres, les affrontements passionnels sur l’émergence d’un « big brother » liberticide semblent bien lointains.

samedi 11 septembre 2010

M. AUBRY : ROMS. MANQUE DE DIGNITE, MANQUE DE COURAGE

Jean-Michel FERRAND, Député de Vaucluse, vous invite à lire l'article paru sur le site du journal "Le Monde.fr", intitulé "Martine Aubry en porte-à-faux sur l'évacuation d'un camp de roms", et notamment le passage suivant : "Lundi matin, François Fillon a profité de son passage à la radio pour expliquer que la première secrétaire du PS s'émouvait du sort réservé aux Roms, mais que sa mairie avait demandé l'évacuation d'un camp construit en périphérie de Lille. Brice Hortefeux et Eric Besson sont revenus à la charge dans l'après-midi, le ministre de l'intérieur expliquant que l'évacuation de ce camp, situé selon eux à Villeneuve-d'Ascq, avait été réalisée "à la demande expresse de Martine Aubry et aurait pu être arrêtée à tout moment si elle l'avait souhaité. Or, il n'en a rien été"".

Suite à cette révélation, et à celle qui a été publiée dans le journal "Le Figaro" du 2 septembre 2010, M. AUBRY, prise la main dans le pot de confiture, se perd dans des explications alambiquées, pour indiquer qu'elle avait demandé l'expulsion d'un camp de roms à Villeneuve d'Ascq mais qu'elle ne voulait pas qu'ils soient renvoyés dans leur Pays, et blablabla et blablabla !!!

Quel manque de dignité ! Quel manque de courage !

Aux Français de juger.

mercredi 8 septembre 2010

Vu dans la presse (juin 2010).Ce qui inquiète le plus Joël Granier, c'est d'expliquer à ses concitoyens que la facture d'eau va augmenter dés 2011 sur sa commune de 40 à 50€.

Le ton est monté d'un cran encore à la question suivante concernant les tarifs de l'eau. Le Grand Avignon doit faire face en effet à une augmentation de ses dépenses, notamment du fait d'investissements onéreux à l'image de la station d'épuration d'Avignon (une vingtaine de millions) ou de Morières (plus de six millions). Seule manière d'équilibrer les comptes : augmenter la surtaxe sur l'eau. Une augmentation qui sera propre à chaque commune en fonction de ses travaux. "À Morières, on est doublement pénalisé. Par le déficit en logements sociaux -il en manque 400- et par la nécessité de doubler la station d'épuration pour ensuite pouvoir réaliser ces logements," souligne le maire. Et ce qui inquiète le plus Joël Granier, c'est d'expliquer à ses concitoyens que la facture d'eau va augmenter sur sa commune de 40 à 50€. "Le problème, c'est que votre commune n'a rien provisionné depuis. Ces questions relèvent de budgets annexes et ne peuvent entrer dans le budget général. Chacun paie ses investissements, une fois encore, c'est très compartimenté" répond Alain Cortade. Et hop! 50 euros de plus a payer chaque année par les Moriérois.En conclusion, l’anticipation n’est pas la qualité première de l’équipe municipale en place a Morières et après le n’importe quoi et les « à vau l’eau » il va falloir payer.

mardi 7 septembre 2010

Bientôt les "10 ans" de la gestion de la municipalité PS-PC sur Morières. Ils peuvent être l'occasion de faire de bonnes et de mauvaises remarques.
Nous relèverons parmi les commentaires ceux dont la pertinence permettront le débat en les mettant en "tête de gondole".
C'est aussi le but de ce blog, débattre, partager, critiquer, ovationner, proposer.
Ceux qui veulent adhérer à ce club virtuel d'opposition ou nous écrire directement peuvent le faire à cette adresse courriel : morieres2014@aol.com

samedi 4 septembre 2010

Nous espérons que vos vacances se sont bien passées et que cette rentrée s'est faite pour chacun de vous dans de bonnes conditions.
Vous allez, de nouveau, être nombreux à consulter notre site et nous tâcherons d'apporter des réflexions pertinentes sur l'actualité locale et nationale.
En ce qui concerne l'actualité estivale de notre commune, Morières a vécu un été « ordinaire » avec son lot de cambriolages aussi bien chez les commerçants (PMU 2 ème attaque à main armée) que chez les particuliers (razzia dans les lotissements). Mardi 7 septembre, grève dans les écoles de la commune, premier jour de fonctionnement normal des établissements et jour de la rentrée de tous les élèves. Certains enseignants de la commune ont bien expliqué aux enfants qu’ils feraient toutes les grèves cette année pour défendre leurs conditions de travail et le droit à la retraite à 60 ans. Merci pour ce cours d’instruction civique et la mise au premier plan de la valeur travail. Par contre, le droit de nos enfants à recevoir une bonne instruction ne semble pas la priorité. Monsieur le maire a organisé un meeting politique pour critiquer le décret petite enfance dont le but est d’accroitre la capacité d’accueil des crèches. En bon républicain, il a déjà annoncé qu’il n’appliquerait pas ce décret. Pour vos enfants, ce sera donc le système D. Enfin le dernier conseil municipal a généreusement accordé l’usage d’un véhicule de fonction (travail+loisir) au directeur général des services de notre mairie. Et hop !une dépense supplémentaire. Il y a fort à parier que pour le budget 2011 qui se prépare, les impôts locaux vont fortement augmenter. La crise aura bon dos pour justifier ces augmentations. Cela n’empêchera pas notre maire d’aller se promener à Paris pour assister au congrès des maires de France au frais de la commune (hôtel, resto, transport, frais de congrès, la totale, quoi !), comme chaque année depuis 9 ans, peut être (sûrement) accompagné d’un élu méritant. Ce ne sera sans doute pas cette année l’adjoint à l’économie qui a eu le bon sens de ne pas voter la délibération sur l’usage et l’attribution des véhicules de la commune. Félicitations à cet élu qui a eu le courage de ses idées. Si comme nous, vous souhaitez lutter contre le matraquage fiscal de notre mairie PS-PC qui masque son incompétence criante en matière de gestion par une succession de fêtes en tous genres, rejoignez-nous. Demain il sera trop tard. Les impôts sont soumis à la loi comptable du cliquet, Ils augmentent mais ne baissent jamais. Envoyez- nous vos messages, propositions, réflexions sur la vie de la commune. Nous les publierons afin que les Moriérois puissent entendre un autre message que celui de la coûteuse revue municipale (et oui ! un véhicule est aussi attribué une semaine par mois au vaguemestre communal pour la distribuer) qui n’a qu’un seul but, faire l’éloge de notre maire de génie.

mercredi 1 septembre 2010

Un conte de Jean DUTOURD de l'Académie Françaisesur sur l'insecurité :


Il était une fois un imbécile qui avait un chien appelé Perdreau. Ce chien était comme tous les chiens, c'est-à-dire qu'il ne jugeait pas son maître et lui était raisonnablement attaché.
Il lui rendait les services que rend un chien. Il grognait quand il voyait un individu à l'allure inquiétante. Il aboyait quand quelqu'un sonnait à sa porte.
Un jour deux types à moto descendirent de leur engin et s'avancèrent d'un air menaçant vers l'imbécile qui les regardait venir avec un sourire d'imbécile : il croyait qu'ils venaient lui demander du feu. En fait, ils voulaient lui prendre son portefeuille.
Le chien ne s'y trompa pas, il leur sauta dessus en hurlant et les mit en fuite.
L'imbécile criait : " Perdreau, viens ici ! Messieurs pardonnez-lui, il n'est pas méchant ". Ah la sale bête ! Tu vas voir la tournée que tu vas prendre !
Les deux voyous sautèrent sur leur moto et partirent très loin. L'imbécile corrigea le chien qui n'y comprit rien, mais n'en continua pas moins à aimer son maître, car les chiens sont fatalistes. Ils savent que les hommes ont des réactions illogiques.. Il y eut plusieurs incidents de ce genre. Chaque fois que le chien croyait faire son métier de chien, l'imbécile lui tapait dessus et se confondait en excuses auprès des chenapans, voleurs, et bandits de tout poil que mordait le malheureux animal. Il disait que celui-ci était idiot, sanguinaire, et qu'il n'arrêtait pas de commettre des bavures.
On a beau être chien et plein de bonne volonté, on finit par se lasser de recevoir des coups. Le chien Perdreau se lassa ; cela se sut assez vite dans le quartier. L'imbécile habitait un pavillon. Une nuit, un cambrioleur escalada le mur. Le chien entrouvrit un œil dans sa niche pour chien et le referma incontinent. Le cambrioleur cambriola en toute tranquillité.
L'imbécile s'arracha les cheveux et corrigea le chien, lequel reçut philosophiquement sa correction, n'étant pas à une inconséquence près de la part de son patron.
Une autre nuit, ce fut un autre cambrioleur qui vint. Ce cambrioleur-là avait un surin qu'il planta dans la bedaine de l'imbécile qui en mourut.
En partant, l'assassin caressa le chien en disant « bon toutou ! » Le chien pensa, car les chiens pensent : « Voila la première parole aimable que j'aie entendue depuis longtemps ».
Cette histoire est celle des Français de leur Police et de leurs élus. Ils s'étonnent de ne pas comprendre la désaffection du peuple Français ? Exemple : " Sur une route où la vitesse est limitée à 50 km / h le quidam Franchouillard qui roule à 51 km / h est un ASSASSIN. Il n'a aucun recours. Ceux qui brûlent 400 voitures, qui incendient les véhicules de police, qui jettent des pierres sur les forces de l'ordre et les pompiers sont conviés avec tous les égards à l'Elysée pour exposer leurs revendications... "...Ils battent leur chien depuis trente ans, et s'étonnent aujourd'hui que le chien ait des états d'âme…! "

Jean DUTOURD, de l'Académie Française

A méditer