Union des Droites pour Morières

Notre équipe pour qui l'intérêt général compte plus qu'une appartenance politique, est ouverte, riche de ses différences, disponible et à l'écoute de chacun. Ce que notre équipe défend, c'est une volonté de gérer au mieux les intérêts de nos concitoyens.

« Tout peut, ici, être dit, même s’il n’est pas interdit d’être argumenté et pertinent. La seule condition posée est de respecter les règles élémentaires de la civilité : les propos injurieux ou outranciers sont évidemment à proscrire »
Un modérateur y veille.
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jeudi 31 janvier 2013

15 000 visites Woaouuuuu !!


Janvier 2013 Le Blog accueillait 15 000 visites.

Record battu. Merci. Merci, encore merci. C’est grâce à vous tous, à votre fidélité, à votre prosélytisme. Nous sommes enchantés de ce résultat et hyper motivés car croyez-nous c’est pas mal de boulot.
Trouver les thèmes et articles sympas, drôles, surprenants, intéressants, … quasi chaque semaine pour vous faire plaisir ou attirer votre intérêt. Quoi de plus sain pour la démocratie que de demander des comptes à nos élus, donner aux citoyens les moyens de peser un peu plus sur les processus de décision, instaurer une « démocratie en continu », être des citoyens « poils à gratter ».

Mais quelle récompense. Vous pouvez relire ou découvrir toutes ces publications bien évidemment en tapant dans les archives le titre de l'article.

Alors ? On repart pour un nouveau record ? On relève le défi, d'autant que 2014 approche et que l'actualité locale comme nationale ne  manquera pas d'opportunités.
Merci encore à tous et … A très bientôt
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Rejoignez-nous !


jeudi 24 janvier 2013

Le diable rouge d'Antoine Rault inspire les socialos

Pour ceux qui n'ont pas lu le Diable rouge, c'est instructif... l'histoire se répète je crois ! En voici une belle preuve :
Citation de Colbert et Mazarin dans : Le Diable Rouge
Colbert: Pour trouver de l'argent, il arrive un moment où tripoter ne suffit plus. j’aimerais que Monsieur le Surintendant m'explique comment on s'y prend pour dépenser encore plus quand on est endetté jusqu'au cou. 
Mazarin: Quand on est un simple mortel, bien sûr, et qu'on est couvert de dettes, on va en prison. Mais l'État…, lui, c’est différent. On ne peut pas jeter l'État en prison. Alors, il continue, il creuse la dette ! Tous les États font ça.
Colbert : Ah oui ? Vous croyez ? Cependant, il nous faut de l'argent. Et comment en trouver quand on a déjà créé tous les impôts imaginables ?
Mazarin : On en crée d'autres.
Colbert : Nous ne pouvons pas taxer les pauvres plus qu'ils ne le sont déjà.
Mazarin : Oui, c’est impossible
Colbert: Alors, les riches ?
Mazarin: Les riches, non plus. Ils ne dépenseraient plus. Un riche qui dépense fait vivre des centaines de pauvres
Colbert : Alors, comment fait-on ?
Mazarin: Colbert, tu raisonnes comme un fromage (comme un pot de chambre sous le derrière d'un malade) ! il y a quantité de gens qui sont entre les deux, ni pauvres, ni riches… Des Français qui travaillent, rêvant d'être riches et redoutant d'être pauvres ! c'est ceux-là que nous devons taxer, encore plus, toujours plus ! Ceux là ! Plus tu leur prends, plus ils travaillent pour compenser… c'est un réservoir inépuisable.
 
Extrait du "Diable Rouge" C'était il y a 4 siècles
 
Nos dirigeants nationnaux et locaux aux abois s'en inspirent ne trouvez-vous pas ??  
 
Foxy
    
 

mardi 15 janvier 2013

Il faut se méfier de la France bien élevée...

"Tout le monde s’accorde à le dire, et même, du bout des lèvres, certains membres du gouvernement : la manif de ce 13 janvier est un immense, un inespéré succès.
Un succès d’autant plus grand qu’elle a fait descendre dans la rue la France des taiseux, la France qui ne fait pas de bruit, la France bien élevée qui ne veut pas déranger, celle qui bosse et paie sans moufeter ses impôts, celle qui n’a jamais commis plus gros délit que de dépasser le temps imparti par un horodateur, celle qui cède sa place dans les transports en commun et aide les vieilles dames à monter leurs bagages dans le train.
 
La France dont on ne parle pas au 20 heures, parce que ses enfants ne dealent pas, ne squattent pas, ne brûlent pas les voitures et ne cassent pas la gueule aux profs, la France qu’aucun gouvernement ne cherche à ménager tant on la sait docile, respectueuse des lois et de l’ordre établi. La gentille France familiale, catholique ou pas, qu’on prend quelquefois, il faut bien le dire, pour toutes ces raisons-là, au choix, pour une bonne poire ou pour une vache à lait.
Et c’est cette France-là qui est venue manifester en masse, avec ses poussettes surchargées, ses innombrables jeunes perchés sur les chars, ses enfants ravis pour une fois d’échapper aux devoirs du dimanche, cette France-là qui est venue protester, crier, tempêter : « François, ta loi on n’en veut pas ! », « Taubira, t’es foutue, les familles sont dans la rue !»
 
Fallait-il, pour que ces gens-là sortent de leurs gonds, que la cause les ait scandalisés, touchés, indignés.
Parmi eux, pas de professionnels de la manif, de vieux routards syndicalistes que l’on voit fondre sur Paris comme les oiseaux migrateurs dès que la saison des conflits sociaux arrive et qui, entre grèves et cortèges, vous bloquent et vous prennent en otage un pays. Si innocents, ces manifestants du dimanche, qu’il a fallu leur expliquer quelques vieilles ficelles : que, pour le comptage de la police, par exemple, il fallait se déployer sur tout le boulevard, et ne pas rester scotchés les uns aux autres, ou que malgré le nombre, il ne fallait pas céder à la tentation d’envahir le trottoir qui, lui, ne serait pas considéré comme « manifestant ».
 
Les CRS eux-mêmes, d’ailleurs, n’avaient pas leur tête tendue habituelle, conscients sans doute que gaz lacrymogènes et vitrines brisées étaient hautement improbables avec ces manifestants placides dont les longues heures d’attente à faire le pied de grue, non plus les affiches provocatrices sur les balcons ici et là n’arrivaient à entamer la bonne humeur. On vit même l’un d’eux sourire lorsqu’un appel au micro signala à quelques minutes d’intervalle la perte d’un iPhone, puis sa restitution. Dans une foule si compacte, un objet si prisé sagement rapporté aux objets trouvés, cela ne s’était jamais vu.
Pour être honnêtes, ces manifestants-là ne sont cependant pas complètement abrutis. Et quand ils entendent parler du chiffre officiel de 340 000 manifestants quand certains d’entre eux, pour avoir organisé les JMJ par exemple, savent pertinemment que le Champ de Mars, très vite saturé ce dimanche et dans lequel nombre de manifestants n’ont pu entrer, peut contenir plus de 800 000 personnes, ils sentent bien « comme une embrouille ».
Il faut se méfier de la France bien élevée et de son côté « diesel » : un peu longue à chauffer, mais lorsqu’elle est lancée, son moteur est increvable.
Et là, c’est le gouvernement qui risque bien d’en baver un peu."
Source : www.bvoltaire.fr 15.01.2013

Et de trois !!

L'agence du Crédit Agricole attaquée au tractopelle

L'agence du Crédit Agricole de Morières-les-Avignon a été prise pour cible dans la nuit de dimanche à lundi vers 3h45. Des malfaiteurs ont utilisé un tractopelle pour défoncer la devanture et tenter de s'emparer du distributeur de billets.
L'enquête a été conjointement confiée aux gendarmes de la brigade des recherches de la compagnie d'Avignon et à la section de recherches de Marseille.

Dormez tranquiles braves gens, notre Maire lors des voeux ne nous a-t-il pas assuré que la délinquance était en baisse ? Pourtant là il ne s'agit pas de petite délinquance, alors Morières ville tranquile ? Oui mais pour qui ?? Peut être qu'une vidéo-surveillance bien ciblée aurait été dissuasive, là ce serait "AGIR" comme il se plait à le dire.
 

jeudi 10 janvier 2013

Une municipalité inquiète ? Il était temps !!

L’édito de janvier ou… Noir c’est Noir
 
Dans son édito de janvier, notre édile constate…enfin, que la situation est gravissime. Il y aura mis du temps ! Comment peut-il en être autrement ? Ah ! Bien sur il y a l’héritage, mais il ne peut plus utiliser ce terme car bien des médias, pourtant acquis à la gauche, en font désormais le reproche.                Alors oui la crise, tiens, il la découvre !!!!
 
Les socialistes nous ont bassinés pendant des années et de façon plus virulente encore au cours de la dernière campagne présidentielle, relayés par tous ces médias gauchistes à qui ils avaient promis de leur conserver les avantages fiscaux, affirmant que la gauche une fois au pouvoir saurait gérer et relancer l’économie. Résultats : les chiffres du chômage flambent, les plans sociaux se multiplient, de nouvelles fermetures d’usines, d’industries, de PME, sont annoncées ou à prévoir, et ce en dépit des gesticulations médiatiques de l’agité au tricot marin que le 1er ministre, bien qu’incapable de gérer ses troupes, a fini par désavouer. Il n’y avait qu’à voir les expressions qu’affichait son visage lors de la réunion avec les syndicalistes d’Arcelor Mittal !!
 
Alors il va agir dit-il. On voudrait bien le croire sauf que la rigueur, il ne connaît pas. Il suffit d’observer la largesse de subventions pharaoniques au comité des fêtes (comme si danser, manger, faire la fête avec l’argent des autres, s’extasier devant un  feu d’artifice, faisaient oublier la crise et ses effets sur le pouvoir d’achat des citoyens), ou bien encore la subvention extra-large à la scène du théâtre de Cavaillon dont la mairie de cette ville a opéré, elle, une coupe sombre dans l’attribution à cette association. Et pour se donner bonne conscience, on n’hésite pas à parler des conditions d’accueil des enfants dans les écoles publiques, on flatte au passage l’échine du personnel communal, des fois que certains se plaignent de leurs conditions de travail.   En fait, c’est surtout pour calmer le débat sur les heures supplémentaires qui ne sont plus payées mais récupérées, ou l’aberration des horaires des agents affectés dans les services scolaires. Concernant la petite enfance, il ferait mieux de se pencher sur le déficit récurant de places de crèche, et pour le personnel communal, au lieu d’acheter un camion à 170 M€ qui ne peut être utilisé car bien trop volumineux pour pouvoir passer dans de nombreuses rues de la commune, il serait bien de rémunérer plutôt les heures supplémentaires au moment ou les familles ont des difficultés.
 
Pour terminer, son allusion à l’adresse de son opposition est totalement déplacée et stupide. Car l’opposition municipale joue parfaitement son rôle quand elle s’émeut de certaines situations, en observant, proposant, votant pour ou contre des propositions de la majorité ou des décisions, en dénonçant des carences, des incohérences,  par des commentaires, qui, s’ils étaient stériles, ne le feraient pas réagir avec une telle véhémence. Le Maire doit savoir que l’opposition à sa politique ne se limite pas seulement aux 5 élus. Cette opposition est bien plus large et importante dans la commune qu’il ne l’imagine apparemment et celle-ci se manifestera  chaque fois que nécessaire. La majorité actuelle quant à elle montre de jour en jour que son équipe est à bout de souffle, et tente de sauver la face en promettant des jours meilleurs dans une grande solidarité. Un nombre important de nos concitoyens sait cependant fort bien ce que veut dire dans la bouche d’un socialiste le mot solidarité : « allez bosser pour payer plus d’impôts…  afin que nous puissions les dépenser ».
Alors Monsieur le Maire, rendez-nous service,  continuez à agir, mais agissez bien ! Nous nous en porterons mieux, c’est le vœu pieu que nous formons pour 2013.
Foxy